COMMUS S.A.S renforce les capacités de ses agents de sécurité sur les Principes Volontaires et les droits humains.

L’entreprise minière COMMUS S.A.S a organisé un atelier de renforcement des capacités à l’intention de ses agents de sécurité, axé sur les Principes Volontaires relatifs à la sécurité et au respect des droits humains. Cette initiative, saluée par les autorités et la société civile, marque une étape importante dans l’engagement de la société pour une gouvernance responsable et respectueuse des droits fondamentaux.
Dès 08h00, la session a été ouverte par le mot de circonstance du responsable de COMMUS S.A.S, suivi de celui du Chef de Division Provinciale des Droits Humains, Michel MUKENDI. Ce dernier a ensuite animé un exposé détaillé sur les Principes Volontaires, insistant sur leur importance dans les zones d’opérations minières, où la sécurité ne peut se faire au détriment des droits humains.
Le programme s’est enrichi d’une intervention du Coordonnateur provincial de la Société Civile du Congo, Monsieur Kasongo Mwamba Faustin, qui a rappelé le rôle crucial des ONG et de la société civile dans la surveillance des pratiques sécuritaires et dans la promotion des droits humains au sein des entreprises.

Un autre temps fort de l’atelier a été l’exposé du délégué de COMMUS S.A.S sur l’état des lieux sécuritaire autour de l’entreprise. Il a expliqué les défis liés à la sécurité et a insisté sur la volonté de la société de collaborer avec tous les acteurs pour une cohabitation pacifique.
« Nous avons parlé du respect des droits de l’homme, de la sécurité, et de la manière de promouvoir ces droits au sein de notre société », a résumé un intervenant.
« La société civile, à travers la SOCICO, est présente pour faire le suivi, pendant que nous, en tant qu’entreprise, avons le devoir de mettre ces principes en pratique », a-t-il ajouté.
À l’issue de l’atelier, les agents de sécurité formés ont reçu leurs brevets de participation, dans une ambiance empreinte de satisfaction et d’engagement renouvelé.

COMMUS S.A.S devient ainsi la première société minière de la province à initier une telle formation avec l’appui des autorités provinciales, un geste qui pourrait inspirer d’autres entreprises opérant en République Démocratique du Congo.